Organisée par le PFDE, cette réunion a regroupée les cadres de la Banque Mondiale, du ministère du plan, de la société civile, du ministère de l’économie forestière, du développement durable et de l’environnement et de ses organismes sous tutelle.

L’objectif de cette rencontre, était d’examiner et d’adopter les rapports annuels de l’année 2016. Cette session extraordinaire est la suite d’une recommandation qui avait été formulée lors de la dernière session ordinaire du comité de pilotage.

Deux documents essentiels à savoir : le rapport de suivi financier de l’année 2016 et le rapport annuel des activités de la même année, ont été soumis aux participants pour examen.

Les participants ont adopté lesdits documents soumis à leur appréciation. 

A l’issue de cette session il a été aussi évoqué la question du non versement de la contrepartie du gouvernement congolais au PFDE, alors que ce  projet existe depuis trois ans. Ce qui a conduit le PFDE de pouvoir mettre les activités en stand-by et que leurs réalisations demeurent assujettis  au paiement des fonds de cette contrepartie.

En dehors de cette préoccupation il y a également la situation relative au versement des indemnités des cadres nationaux au niveau des différents projets conjoint Congo-Banque Mondiale, qui depuis un certain temps ne perçoivent pas leurs émoluments. A ce titre, une recommandation a été faite qui sera adressée au ministère du plan afin qu’une solution soit trouvée sur cette question.

Pour le Coordonnateur du PFDE M. Joachim KONDI le projet a la possibilité de bénéficier des fonds additionnels dans le cadre du fond mondial pour l’environnement. Le projet travaille là-dessus. Certainement dans les tous prochains jours la Banque Mondiale qui a déjà reçue l’accord de principe du fond mondial pour l’environnement va donc présenter un dernier document qui est le protocole d’accord à conclure avec WCS (Wildlife Conservation Society) dans le cadre de la gestion du parc national de Ntokou-Pinkounda. 

Notons que le PFDE est un projet qui est sous la tutelle du ministère de l’économie forestière, du développement durable et de l’environnement, financé par la Banque Mondiale et le gouvernement Congolais.

Signalons que le travail abattu par le projet aucours des 3 ans est jugé satisfaisant par la Banque Mondiale.