Au cours de ces deux jours de formation, animé par Benjamin LENTZ de l’Agence Américaine pour le Développement International (USAID), les participants ont eu l’opportunité de renforcer leurs capacités en matière d’utilisation de l’approche de développement des systèmes de marchés afin de favoriser le développement des petites et moyennes entreprises favorables à la conservation de la biodiversité et des forêts.
Cette session a permis, entre autres, aux parties prenantes de comprendre et d’analyser ‘’ l’économie circulaire’’, l’économie verte pour éclairer les décisions et les actions à entreprendre mais également d’analyser les incitations et interférences possibles pour l’atteinte de la réduction de la pauvreté.
A l’issue de cet atelier, les participants ont formulé quelques recommandations. Il s’agit de la désignation du ministère devant porter et promouvoir le concept de ‘’l’économie circulaire’’ et de la prise des textes de loi devant permettre son application au Congo. Ils ont, par ailleurs, recommandé à l’Agence Congolaise de Normalisation et de la qualité (AQUONOC) d’entreprendre des études sectorielles devant permettre aux petites et moyennes entreprises à certifier leurs produits en vue de leur compétitivité tant au plan national qu’international.
Dans son allocution de clôture, Sabine JIEKAK, responsable du Projet CEERC, a fait part de sa satisfaction quant à la tenue de cette session de formation et dit espérer avoir créer un cadre de concertation pour que les administrations publiques impliquées travaillent ensemble. « Nous avons pensé qu’il fallait avoir une approche différente. Il est important que les acteurs étatiques entre eux mettent ensemble des lois selon leur responsabilité pour voir comment ils peuvent travailler ensemble, développer les complémentarités et lever les gaps pour atteindre les objectifs. Nous espérons au terme de cet atelier avoir contribuer à créer à renforcer ce lien intersectoriel » a déclaré la responsable du Projet CEERC. Toutefois, consciente que les deux jours consacrés à la formation ne pouvaient étancher la soif d’apprentissage des parties prenantes, Sabine JIEKAK a annoncé organiser d’autres session et a qualifié cet atelier comme un atelier introductif.
Cette activité s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre des activités du projet CEERC. Il est financé par l’USAID, et vise à réduire les menaces pesant sur la biodiversité et les forêts congolaises.
Les membres du Comité Conjoint de Mise en œuvre de l’Accord
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