Plus de 600 millions de Francs CFA octroyés à la première phase en octobre 2015 et 295 millions pour la deuxième phase de la Convention PFDE/CIB-OLAM faisant en tout environ 900 millions investis sur 2 ans dans ce partenariat, contribuent à l’amélioration non seulement des conditions de vie de 160 ménages résidant dans les concessions forestières de Pokola, Kabo Et Loundoungou - Toukoulaka, mais aussi à la relance de la culture du cacao. Les activités prévues à cet effet, visent l’accompagnement des populations locales et autochtones dans l’agroforesterie et la culture de cacao, notamment dans la mise en place et l’entretien de leurs plantations.

La signature de cette convention par MM. Jacques OSSISSOU et Christian SCHWARTZ respectivement Coordonnateur du PFDE et PDG du groupe CIB-OLAM, a eu lieu en présence de plusieurs représentants des différentes directions des ministères en charge de l’économie forestière et de l’agriculture. Le groupe CIB-OLAM joue ainsi le rôle de maître d’œuvre délégué.

Dans son allocution d’ouverture, le Coordonnateur du PFDE a remercié le Groupe CIB-OLAM pour son efficacité et sa rigueur,  dans la mise en œuvre des activités prévues dans la première phase de la Convention de Partenariat avec le PFDE. Il a relevé par ailleurs que cette deuxième Convention intervient dans le but d’élargir les bénéfices des retombées socio-économiques dans les zones rurales du Congo, afin de continuer à développer la cacao- culture dans les Unités Forestières Aménagées (UFA) de Pokola, Kabo et Loundoungou-Toukoulaka. Ce projet s’inscrit dans la vision du « Tout économie en vue du tout social» prônée par le Gouvernement de la République du Congo. Il vise donc  le renforcement des capacités des principaux bénéficiaires que sont les planteurs défavorisés et les groupements, qui seront formés aux techniques de marketing et de commercialisation de la production, a-t-il poursuivi. 

Le souhait est que ces investissements servent de bras de levier pour soutenir la dynamique initiée pour le développement des zones rurales de notre pays.