Arrivé en 2009, après un premier mandat de trois (03) ans, il a été reconduit pour un deuxième qui s’achève en mars 2015,le Représentant de la FAO au Congo a remercié son interlocuteur de la très franche collaboration dont il a bénéficié et de la disponibilité de ses collaborateurs.
La FAO ayant appuyé l’administration forestière dans le cadre de la révision de la loi forestière datant de 2000, et le Ministre Henri DJOMBO ayant procédé à la relecture du projet de loi portant nouveau régime forestier, en compagnie de ses principaux cadres, a sollicité une fois de plus l’appui technique de la FAO, pour donner à la nouvelle loi à promulguer un caractère coercitif.
Comment traduire la gestion participative dans cette loi? Comment définir les rôles des uns et des autres ? Comment garantir la durabilité du bois ? L’exploitation, la traçabilité. La procédure doit être bien décrite pour contraindre l’usager à l’appliquer. Les actions à engager pour maîtriser la déforestation, autant de suggestions faites par le Ministre Henri DJOMBO. Il a également évoqué le protocole de NAGOYA lié à l’accès aux ressources génétiques et au partage issu de leur exploitation. Comment l’appliquer au niveau national ? Quelles sont les dispositions à prendre ? Le Ministre Henri DJOMBO à sollicité l’aide de la FAO pour qu’elle se mette en rapport avec l’Organisation Internationale de la Francophonie pour obtenir les drafts des pays ayant déjà appliqué le protocole de NAGOYA. Dieudonné KOGUYAGDA a promis transmettre toutes ces doléances à son successeur qui prendra ses fonctions au mois de mars.
Pour diversifier son économie, reposant en grande partie sur
...Les membres du comité de pilotage (Copil) du Projet « opérat
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